S’organiser, rédiger, se procurer du papier et de l’encre... L’activité d’écriture clandestine se heurte à de nombreux défis. Outre les matières premières, il faut également trouver la main d’œuvre nécessaire à la naissance de ces publications. Divers corps de métiers se mobilisent : journalistes, imprimeurs, typographes, papetiers. Certains sont de véritables professionnels, d’autres se forment sur le tas.