A l’extrémité du collatéral nord, se trouve l’imposante châsse de saint Marien. Elle est en bois peint et mesure un plus d’un mètre de long. Elle a été refaite à la suite de l’incendie de 1942 qui a failli détruire les reliques.
L’évêque Grégoire de Tours évoque dans ses chroniques saint Marien. Il aurait vécu dans une grotte, sur un éperon rocheux au confluent du Cher et de la Tardes. Il serait mort, le 10 octobre en 513 en tombant d’un pommier. La population invoquait le saint pour obtenir la guérison des enfants « grognons, rachitiques et débiles », mais aussi pour se marier dans l’année… Il existe beaucoup moins de représentations de saint Marien que de sainte Valérie.