Sélection naturelle : simulation mathématique

Soit un gène représenté par deux allèles « 1 » et « 2 ». Cette simulation permet de suivre l’évolution de la fréquence p de l’allèle « 1 » de génération en génération. Cette simulation s'appuie sur un programme mathématique de Kent Holsinger (Université du Connecticut, USA). Original (USA) de cette page : http://darwin.eeb.uconn.edu/simulations/selection.html
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Boutons :

  • Le bouton « p » permet de fixer au choix une fréquence allélique de départ de 0,1 , 0,5 et 0,9.
  • Le bouton « w11 » représente l’homozygote (1//1), le bouton « w12 » l’hétérozygote (1//2) et le bouton « w22 » l’homozygote (2//2).
  • Différentes valeurs sélectives peuvent être attribuées à ces trois boutons en fonction de l’avantage sélectif (valeurs 1,2 et 1,1), de l’absence d’avantage ou de désavantage sélectif (valeur 1) ou du désavantage sélectif (valeurs 0,9 et 0,8) conféré par le phénotype correspondant au génotype déterminé par le bouton. Attention : penser que les phénotypes de l’homozygote dominant et de l’hétérozygote sont les mêmes, donc confèrent à ces organismes le même avantage sélectif - Les valeurs de « w11 » et de « w12 » sont donc
    obligatoirement les mêmes si c’est l’allèle 1 qui est dominant, par contre, ce sont les valeurs de « 
    w12 » et de « w22 » qui sont obligatoirement les mêmes si c’est l’allèle 2 qui est dominant.
  • Les boutons « Start » et « Clear » permettent respectivement  d’induire le tracé de la courbe d’évolution de l’allèle (huit tracés peuvent se superposer), et d’effacer les courbes tracées.

Mise en œuvre du logiciel :

  • Essayer différentes itérations en changeant d’une part la fréquence de départ de l’allèle « 1 » et d’autre part les valeurs d’avantage ou de désavantage sélectif des trois génotypes possibles.
  • En déduire l’importance de la sélection naturelle sur la variabilité génétique d’une population.

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