|
Boutons :
-
Le
bouton « p »
permet de fixer au choix une fréquence allélique de départ de 0,1 ,
0,5 et 0,9.
-
Le
bouton « w11 »
représente l’homozygote (1//1), le bouton « w12 »
l’hétérozygote (1//2) et le bouton « w22 »
l’homozygote (2//2).
-
Différentes valeurs sélectives
peuvent être attribuées à ces trois boutons en fonction de
l’avantage sélectif (valeurs 1,2 et 1,1), de l’absence d’avantage ou
de désavantage sélectif (valeur 1) ou du désavantage sélectif
(valeurs 0,9 et 0,8) conféré par le phénotype correspondant au
génotype déterminé par le bouton. Attention : penser que les
phénotypes de l’homozygote dominant et de l’hétérozygote sont les
mêmes, donc confèrent à ces organismes le même avantage sélectif -
Les valeurs de « w11 » et de « w12 » sont
donc obligatoirement les mêmes si c’est l’allèle 1 qui est
dominant, par contre, ce sont les valeurs de « w12 » et de « w22 »
qui sont obligatoirement les mêmes si c’est l’allèle 2 qui est
dominant.
-
Les boutons « Start »
et « Clear » permettent respectivement d’induire le
tracé de la courbe d’évolution de l’allèle (huit tracés peuvent se
superposer), et d’effacer les courbes
tracées.
Mise en œuvre du logiciel :
-
Essayer
différentes itérations en changeant d’une part la
fréquence de départ de l’allèle « 1 » et d’autre part les
valeurs d’avantage ou de désavantage sélectif des trois génotypes
possibles.
-
En
déduire l’importance de
la sélection naturelle sur la variabilité génétique d’une
population. |