Dans son enseignement, Élisabeth Schmit, aujourd’hui maîtresse de conférences en histoire médiévale, invite parfois ses classes à jouer. À jouer, mais sérieusement. Dans cette série sur les usages pédagogiques du faux, elle revient sur une activité en particulier qui met l’histoire en jeu : l’écriture d’archives. Qu’implique le fait de mettre les élèves ou les étudiant·e·s en position de jouer le rôle de producteur de documents, de traces du passé ? Quelle marge pour les possibles dans l’articulation de ce que l’on sait du réel historique et de l’invention ? Pour commencer, direction le lycée et les premiers jeux d’écriture dans une classe de Seconde.
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